Accueil2023-05-31T21:17:39+02:00

Œuvre de la Jeunesse

Jean-Joseph Allemand

Bienvenue à l’Œuvre de la Jeunesse J.-J. Allemand

L’Œuvre de la jeunesse a été fondée à Marseille en 1799 par l’Abbé Jean-Joseph Allemand, âgé alors de 27 ans. Après avoir occupé successivement plusieurs locaux de la ville, Monsieur Allemand installa son Œuvre, en 1820, dans les locaux actuels de la rue Saint-Savournin. Il la dirigea pendant 37 ans, jusqu’à sa mort survenue en 1836.

Depuis l’origine elle accueille les jeunes pendant leurs loisirs pour les aider à grandir, à s’épanouir et à devenir des adultes libres et ouverts, capables de s’engager au service des autres et d’assumer leur part de responsabilité.

Ses successeurs ont créé plusieurs filiales, dont l’une fonctionne toujours : Les Iris, dans le quartier Saint-Giniez.

La présente note concerne plus particulièrement l’Œuvre située à la rue Saint-Savournin qui, depuis plus de deux cents ans, est au service des jeunes, avec le souci constant de s’adapter à chaque génération.

RETROVISEUR

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Dates à retenir

Premières communions des jeunes du caté : dimanche 4 juin

Sortie familiale à Carabelle : dimanche 11 juin

Fiesta de fin d’année : samedi 1er juillet

Vacances d’été : du 8 juillet au 1er septembre
Des camps sont organisés (voir page des camps)

L’Œuvre est fermée pendant les vacances scolaires

Réouverture dimanche 2 septembre

Bonnes vacances !

Ici on joue, ici on prie

– Un peu de spiritualité –

Édito juin 2023 > la foi au cœur du drame

Il y a plus d’un mois, au cœur de la nuit de Pâques, alors que nous étions à la fête après la veillée pascale qui célébrait la victoire de l’amour de Dieu face à la mort, nous avons été rattrapés par le drame de l’explosion, de la déflagration et de l’effondrement d’immeubles dans la rue de Tivoli, à 100 m à vol d’oiseau de l’Œuvre. La violence du choc, physique et émotionnelle, a laissé place à la sidération dans le quartier qui va rester longtemps marqué par ce traumatisme. Vie & mort Ce choc des symboles, vie/mort, joie/drame, espérance/désespoir a donné suite à d’autres chocs symboliques avec des réactions très contrastées, de peur et de solidarité, de colère et de fraternité, de résignation et de recherche de responsables… Réactions naturelles, qu’il nous faut accepter sans jugement, et qui nous renvoient à nos propres réactions face à la question du

L’Évangile du mois de juin 2023

Nous lirons ce passage le dimanche 18 juin, le 11e dimanche du temps ordinaire. Évangile de Jésus-Christ selon saint Matthieu En ce temps-là, voyant les foules, Jésus fut saisi de compassion envers elles parce qu’elles étaient désemparées et abattues comme des brebis sans berger. Il dit alors à ses disciples : « La moisson est abondante, mais les ouvriers sont peu nombreux. Priez donc le maître de la moisson d’envoyer des ouvriers pour sa moisson. » Alors Jésus appela ses douze disciples et leur donna le pouvoir d’expulser les esprits impurs et de guérir toute maladie et toute infirmité. Voici les noms des douze Apôtres : le premier, Simon, nommé Pierre ; André son frère ; Jacques, fils de Zébédée, et Jean son frère ; Philippe et Barthélemy ; Thomas et Matthieu le publicain ; Jacques, fils d’Alphée, et Thaddée ; Simon le Zélote et Judas l’Iscariote, celui-là même qui le livra. Ces douze, Jésus les envoya

Ici on joue, ici on prie

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