Départ. 4 heures de répit au chaud dans le car avant d’affronter la banquise et le corona. Sortie du car. Attention il y a 10 mètres à parcourir jusqu’à la maison. Ouverture de la porte du car dans 3, 2, 1… Machine arrière on s’est trompé de destination on est au Sahara y’a pas un gramme de neige. Un pic-nic, des règles de vies, les chambres faites, le soir arrive et c’est le drame : quelqu’un est mort et il faut inspecter toutes les salles de la maison pour chercher le moindre petit indice pour reconstituer le crime.
Le lendemain, et tous les jours à partir de maintenant, réveil 7 heures pour être à 9 heures sur les pistes. Après le Sahara, la Sibérie ! – il vente, il neige ; les Cadets, transis sur leurs skis ont le nez bleu. Par ce vilain soir de février, qu’il ferait bon garder la chambre, devant son feu ! Mais c’est le zga, et 2 docteurs nous font subir d’étranges tests d’aptitude après avoir malencontreusement perdu leur dernier patient.
9 heures, la tempête continue, le blizzard est sur les pistes. Nous bravons les forces de la nature pour l’amour de la glisse et des gamelles. Mais le chocolat chaud de Béa tarde à venir à cause des routes bloquées par la neige. De plus, nos voisins ont de terribles petits secrets et risquent de perdre leur poste dans leur émission sur TF1.
Le lendemain, le soleil daigne se montrer. Un temps parfait pour affronter la bosse du snow-park avec les confirmés et les moyens +. Malheureusement, le Dôme est fermé pour risque d’avalanches. Le soir, un groupe d’animaux musiciens vient nous recruter.
Enfin, sous un ciel gris, nous pouvons profiter à fond de cette dernière journée de ski (il n’y a personne sur les pistes en plus). Puis messe, ménage, bilan, raclette pour conclure.
Réveil à 6 heures 30 pour le retour. C’est un groupe dont le potentiel ne demande qu’à éclore au prochain camp. 4 heures passent. Arrivée.

‍Alexis