Olivier

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Camp Été 2024 > les Jeunes Cadets

Les Jeunes Cadets à Larche

Nous voici au terme de notre incroyable aventure, arrivant au col de Larche, où se niche le camping des Marmottes. Ce lieu porte bien son nom : les marmottes étaient au rendez-vous, gambadant joyeusement autour de nous. Ici, nous nous sommes immergés dans les splendeurs naturelles des reliefs et des rivières, offrant des moments de pur divertissement. Notre escale nous a également permis de découvrir le fort de Saint-Ours, un site chargé d’histoire captivante.
Notre périple nous a ensuite menés à la Maison de Larche. C’est là que nous avons retrouvé Shrek une dernière fois, entouré de Vaïana et de ses amis. Ensemble, nous avons exploré la batterie de Tournoux, un autre trésor historique. Nous avons ensuite profité du plan d’eau de Jausiers, où nous nous sommes baignés et amusés lors d’un laser-game palpitant. Pour couronner le tout, une marche inoubliable dans le vallon du Lauzanier nous a permis d’admirer la faune et la flore locales de près.
Pour conclure ce voyage mémorable, nous avons posé nos valises au camping Rioclar, près de Barcelonnette. Là, nous avons savouré la piscine et les installations sportives. Mais l’aventure ne s’arrêtait pas là : nous avons dévalé les pistes en luge d’été et avons découvert l’accrobranche de nuit.
Voilà la fin de notre aventure et de cette année pleine de plaisirs et de bonheur. Je vous souhaite à tous de continuer à vous épanouir afin que lors des prochains camps vous profitiez autant, voir plus, que lors de celui-ci.
Merci à vous pour ces moments magiques, de la part de l’équipe des Jeunes Cadets.

Niels

2024-08-25T08:14:14+02:00

Camp Été 2024 > les Cadets

Les Cadets autour du lac de Ste-Croix

Samedi 6 juillet, début des vacances, départ 8 h. On peut vous dire que pour des KD’s ça fait mal de se réveiller si tôt. C’est encore à moitié endormis, et sous une pluie fine, que nous sommes partis pour les Gorges du Verdon ! Sommeil salvateur dans les minibus pour presque tous, sans abuser. Enfin arrivés, et à peine le fourgon déchargé, le pique-nique commence (même si l’on a décalé les valises 3 fois, on l’avoue). Partage convivial du pique-nique, bien que les bonbons soient convoités. Première installation des tentes, qui permettra aux prochaines d’être rapides. Bien que, malheureusement, vous le lirez bientôt, nous avons eu quelques aventures.
Les cinq premiers jours dans ce camping s’enchaînent bien, avec le lac et la vase où l’on dirait qu’ont va chopper la tourista, la vase qui, pour certains, sert de masque, pour d’autres, d’arme d’attaque (ou encore qui ouvre le front…). Mais aussi, la piscine, les jeux où ils se sont retrouvés enfants avec des photos de leur jeunesse, lorsqu’ils ont rencontré Christinata et Christophe et qu’ils ont su être de bien belles voitures, ou encore le super pédalo en plein cagnard, avec la « queue-leuleu » des pédalos. Mais aussi la dernière journée à thème avec le petit prince de la street : nous avons abordé ensemble l’amour, la mort, l’amitié cette année, en la clôturant par l’humilité, en passant par des rires, mais aussi des pleurs, et de beaux moments de réflexions qui, nous l’espérons, aurons fait grandir les Cadets et les aurons aidés à voir les choses d’une autre manière.
C’est plutôt motivés que les KD’s changent de camping : il a tout pour plaire mais surtout : les sanitaires à deux pas. Malheureusement l’utopie ne dure pas et les KD’s mettent 5 vraies longues heures à se débattre avec le montage des tentes, le sol était bien trop « caillouteux ». C’est finalement avec des buissons et de grosses pierres que la plupart des tentes furent installées. Comme si ce n’était pas assez drôle, le jour suivant, gros orages. Tentes pleines d’eau (heureusement jeunesse et sport ne vient pas le lendemain comme l’année passée…), et KD’s qui sortent de la douche plus secs qu’à leur entrée. Bien sûr, après la longue installation, nous avions une activité nocturne : l’Observatoire… Personne n’a tenu le coup, et beaucoup se sont endormis (même des animateurs, et même debout…). Nous découvrons un lac sans vase, mais plein de cailloux pointus, il faut choisir. Les KD’s sautent des rochers, tout va bien. C’est aussi là que nous découvrons que 100 % des Cadets avaient leur brevet, bravo à vous ! « Petite » rando au rendez-vous, avec au sommet les chèvres qui veulent manger leur pic-nique mais tranquille, Marc, le roi des chèvres, nous sauve la mise : on apprend qu’il faut les applaudir pour les chasser, évidemment ça part en concert d’applaudissements… Pour se reposer, petite veillée « contes qui font peur ». On se rappellera aussi de l’accueil chaleureux (ou pas) des gens. Veillée tribunal aussi, bien respectée le lendemain comme toujours.
Le lendemain justement, c’est le départ pour le troisième camping ! Quelle bonne idée a eu un Cadet de dire à tout le monde que c’était un 5 étoiles… En fait, dans ce petit camping rustique, surprise : un autre groupe de 40 était aussi installé sur notre campement, et il n’y avait que 4 douches pour tout ce monde ! Un vrai délice, on vous le dit. OM contre Lille. Donc douche au jet d’eau oblige, bon souvenir ! Puis soirée film avec « La planète des singes » et dodo à la belle étoile ! Le lendemain, c’est décidé, on retourne au premier camping, qui nous accepte volontiers… Ouf ! On s’installe, comme à la maison, on met pleins d’hamacs et les KD’s s’amusent avec la slaque-line. Bataille de pommes de pins au rendez-vous, journée à thème des lapins crétins avec une malade de crève et une béquillarde, mais on s’adapte à tout ! On se rappellera de l’électricité et du wifi dans les paroles saintes, mais aussi de notre vieil ami qui a bien voulu faire le signe du J, et bien sûr de des supers bouquets de fleurs des Cadets pour notre admirable Véro. Leurs têtes décorées en licorne resteront dans nos cœur. On aussi fait de drôles de rencontres dans les jeux préparés par les jeunes, avec Bob l’éponge et ses amis qui avaient perdus la mer, les Totaly spies trop vieilles qui cherchent la relève, ou les survivants d’après l’apocalypse. Petit accrobranche sympathique, surtout parce que y’avait le saut dans le vide, et qu’on était plutôt libres. Mais aussi le canoë avec la course avec les touristes, et les sauts depuis les rochers ! Belle dernière veillée où certains ont dansé et se sont déhanchés comme jamais, avec bonbons et boissons au rendez-vous, et des jeux de cartes pour d’autres.
On vous remercie pour ce camp les Cadets ! Et merci pour cette année ! Merci pour vos rires, vos délires, et vos réflexions qui sont souvent très intéressantes. Vous êtes, pour la plupart d’entre vous, le groupe qu’on a toujours suivi, on vous aime !

Les animateurs KD’s

2024-08-25T08:15:59+02:00

Camp Été 2024 > les Grands Cadets

Les Grands Cadets dans les Pyrénées et en Espagne

Nous allons commencer ce récit par un long voyage : afin de vivre cette expérience, les GKD’s ont du se rendre en dans les Pyrénées et en Espagne. Après avoir fait un voyage transpirant, long et soporifique nous étions enfin arrivés à destination.
Dans le premier camping, un cadre idyllique où se rencontrent calme, nature et agitation. Vous allez sûrement nous demander pourquoi ? Les choses ce sont enchaînées très vite. 2e jour : rafting. Ils ne se sont pas noyés et tant mieux, 3e jour : Rick et Morty sont arrivés par accident dans notre monde à cause de leur pistolet qui était défectueux. Les GKD’s les ont aidés à trouvé la cause de ce dysfonctionnement et ils ont réussi à démasquer l’imposteur à l’origine de ce sabotage, qui n’était autre que Summer, la sœur de Morty ! Le lendemain soir, les GKD’s ont pu participer à la fête du village au lac de Puivert, où ils ont admiré le feu d’artifice et dansé.
Le cinquième jour, les Grands Cadets ont dû faire un long voyage de huit heures pour arriver en Espagne à Valence dans un camping très sablonneux. Le lendemain, 19 juillet, les grands cadets ont visité la ville de Valence où ils ont pu apprécier le contraste entre le centre historique, ayant une architecture ancienne, et la modernité de l’autre côté de la ville. Nous faisons un bond dans le temps comme Rick et Morty pour arriver le 22 juillet ou les grands cadets ont visité le musée des Art et des Sciences, le musée océanographique, les requins, les méduses, les crocodiles et les dauphins ont été mis à l’honneur, et en particulier ces derniers lors de leur spectacles. Ils ont aussi pu participer à une projection 3D sur un grand écran au plafond. Cette journée fut une expérience très enrichissante pour eux.
Le 24 juillet, les Grands Cadets ont fait le plein de sensations fortes, notamment grâce au Shambala, DragonKan, et l’ascenseur ! Mais le plus impressionnant fut l’attraction Ferrari avec un pic de vitesse à 150 km en 5 secondes; et ils ont fini cette journée en beauté avec le spectacle de Port-Aventura.
Deux jours plus tard les GKD’s ont visité Barcelone en dégustant un pique-nique dans le Parc Güel, ils ont visité le banc mythique qui s’y trouve, vu la Sagrada Familia qui n’a jamais cessé d’être en construction. Après tout ça, ils ont pu faire un petit tour sur la Ramblas de Barcelone, où ils ont fait leurs petites emplettes.
Après cette journée, les Grands Cadets ont eu le droit à une journée de repos pour se préparer au lendemain où ils devront faire une marche pour monter jusqu’au refuge des Cortalets, au pied du pic du Canigou. Ils ont fait une belle marche dans la forêt, sous l’ombre naturelle, des arbres et la fraîcheur de la petite rivière qui passait. Après quatre heures de montée, les Grands cadets sont arrivés à leur but, le refuge, où ils ont été accueillis par un troupeau de vaches et une vue imprenable sur le mont Canigou. Le lendemain, réveil à l’aube pour les grands cadets afin d’arriver à 9 h au pic du Canigou à 2785 mètres d’altitude ! Ils ont eu le privilège d’admirer les montagnes au long avec cette vue imprenable sur les Pyrénées.
Après ces deux jours de marche, arrive la fin du camp, le moment le plus dur où il faut dire au revoir à ses amis GKD’s et ses animateurs qui quittent le groupe Grand Cadet pour poursuivre leur chemin.
Nous sommes fièrs d’offrir 7 nouveaux animateurs à l’Œuvre, pour qui de belles années s’annoncent !
Les animateurs, Antoni, Noah et Violette remercient chacun des GKD’s pour ce camp exceptionnel, beau et riche en émotions et en aventure !

Antoni, Noah et Violette

2024-08-25T08:18:32+02:00

Camp Printemps 2024 > les Benjamins

Les Benjamins à Carabelle

Il était une fois, au fond d’une impasse du village de Beaumont-de-Pertuis, une belle maison nommée Carabelle, connue pour sa magie et sa part de mystère. Une bande de 34 enfants, que l’on appelait « Benjamins », et leurs animateurs, entreprirent de visiter cette maison et de relever tous ses défis. Dès le premier soir, ils devinrent des guerrières kyoshi en formation et effectuèrent leur première mission pour tenter d’entrer en alternance. On appela cela la guerre des éventails !
Le lendemain, ils participèrent à Koh Lanta, pour redonner de la visibilité à l’émission, avant d’aider deux capitaines de bateau à se départager le contrôle de la mer de Carabelle. Ce fut une bataille navale grandeur nature avec des bombes à eau. Finalement, deux danseuses hawaïennes apprirent aux Benjamins à danser et repérer le rythme pour parvenir à danser aussi bien qu’elles.
Après une longue nuit de sommeil, les Émotions : Joie, Tristesse, Surprise, Colère, Peur et Dégoût, demandèrent de l’aide aux Benjamins. Ils avaient pour mission de résoudre le mystère autour de l’origine de Pâques qui divise depuis toujours les lapins et les poules de Pâques. Les Benjamins participèrent à une chasse aux œufs pas comme les autres qui les amena à la conclusion suivante « les lapins ne pondent pas d’œufs ». Cependant, cette révélation entraîna une explosion d’émotions et de couleurs sans merci qui les marquèrent pour toujours et montra l’importance du pardon. Cette querelle se conclut par un compromis : lapins et poules étaient tous à l’origine de Pâques à leur manière. Cela donna lieu à un tas de contes qui bercèrent la nuit des Benjamins.
Un conte devint réalité le jour d’après, celui des « cigognes porteuses de bébés ». En effet, les cigognes Melody et Marcel demandèrent aux 34 aventuriers de les remplacer pour les livraisons de bébés aux familles avant qu’elles ne prennent leur retraite. Puis, les super nullos accueillirent nos chers Benjamins pour les aider à mettre en avant leur côté le plus nul afin de devenir les plus forts des nuls. Vous les aviez d’ailleurs sûrement vus à la télévision sur Carabelle TV, les Benjamins avaient découvert les derniers mystères de la maison sur le plateau de TPM-BJ (« Touche Pas à Mon BenJamin ») en participant à un tas d’épreuves différentes qui déclenchèrent l’amusement général en ce dernier soir de collectivité.
C’est ainsi que durant cette grande aventure, au cours de laquelle les Benjamins avaient affronté le froid, avaient fait preuve d’esprit de compétition, de bienveillance et d’esprit d’équipe, ils purent affronter toutes les épreuves lancées par cette belle et mystérieuse maison Carabelle. Cette dernière leur apprit de nombreuses valeurs et leur permit de bien rigoler et de se créer de nombreux souvenirs. Les Benjamins ainsi que leurs animateurs se promirent de revenir un jour pour revivre ces moments inoubliables. Ils rentrèrent heureux et eurent beaucoup d’amis.

Matilde

2024-05-20T21:18:23+02:00

Édito juin 2024 > Sport et religion

Avec l’arrivé de la flamme olympique à Marseille et l’ouverture prochaine des J.O. de Paris, nous entrons dans une période durant laquelle le sport et la rencontre des autres auront une grande place. Dans un contexte international traumatisé par les conflits, la violence, les guerres et les inégalités, oser la rencontre et prôner la fraternité a du sens et peut nous aider à comprendre que nous sommes dans l’obligation de vivre ensemble et d’être solidaires si nous voulons trouver des solutions durables pour offrir un avenir viable aux générations futures.

École de la vie
Le sport est aussi l’occasion de redécouvrir de beaux principes de vie, qui ne sont pas sans rapport avec les messages de fraternité, de solidarité et d’engagement que nous transmettent les religions. D’ailleurs, il ne manque pas de références sportives dans les écrits religieux et dans les grands textes fondateurs. Le dépassement de soi, l’effort, le courage, la concentration, l’entrainement, la joie de la réussite et du partage, le sens du collectif… tout cela peut nous aider à vivre et à comprendre le véritable sens de l’existence. S’il y a de la compétition, nous savons d’expérience qu’elle trouve son sens non dans la haine de l’autre – même si nous sommes hélas parfois témoins du dévoiement de ce beau principe et par des violences qui dénaturent l’esprit sportif à sa racine – mais dans l’émulation, pour donner le meilleur de soi-même.

Goût de l’effort
Avec le sport, nous découvrons que la facilité n’est pas bonne conseillère et que savoir se donner de la peine pour atteindre un objectif est source de joie et d’accomplissement. Nous vivons aussi cela dans la vie collective à l’Œuvre, en particulier pendant les camps, et tout spécialement lors des activités sportives ou des randonnées. S’il y a de la peine à faire des effort, il y a un grand bonheur à parvenir à un sommet ou un point d’étape qui nous semblait impossible à atteindre. Ce que nous expérimentons physiquement s’enracine profondément dans notre être et peut nous aider à vivre les grandes étapes et épreuves de notre vie. Quand l’impossible devient possible, alors on comprend ce que veut dire espérance et confiance.

Force du collectif
Avec le sport nous sommes aussi invités à découvrir la force du collectif. Même pour les épreuves individuelles, nous savons bien que c’est en équipe que l’on s’entraine, que l’on progresse, que l’on se stimule. Et pour les sports d’équipe c’est encore plus flagrant. Les qualités d’une équipe reposent sur les capacités individuelles, mais aussi et surtout sur la manière de collaborer, de se soutenir, de s’entraider et de trouver sa juste place en laissant l’autre trouver la sienne. C’est aussi ce que tout groupe et communauté découvre et met en place. Pour les chrétiens, nous parlons de « vivre en Église », dans le sens où nous comprenons que nous faisons partie d’un corps plus grand que la somme de nos individualités et que nous sommes chacune et chacun membres de ce corps, différents, complémentaires, unis sans être identiques.

Joie du partage
Cette force du collectif porte des fruits dans l’entrainement et l’émulation, mais aussi dans la grande joie de vivre ensemble. En cas de victoire c’est évident, mais même en cas d’échec ou de difficulté, le fait d’avoir vécu une expérience extrême avec d’autres, d’avoir traversé les étapes qui mènent à une rencontre décisive, nous fait rentrer dans une dimension particulière du sens de l’existence. C’est aussi ce que vivent les jeunes lors de leur passage à l’Œuvre et en camp. L’expérience de la vie collective, du partage, du service, de l’entraide et de la solidarité, peut fonder une vie tournée vers les autres et en capacité d’engagement.

Honnêteté
Le sport est aussi une école d’honnêteté. S’il faut toujours combattre la triche, l’anti-jeu ou le dopage, les authentiques sportifs savent bien que ce n’est pas par peur du gendarme et de la sanction que l’on résiste à ces facilités, mais parce que si l’on ne vit pas honnêtement sa démarche sportive, alors on passe à côté de ce qu’elle peut nous apporter. Une victoire en trichant n’a pas le même goût qu’une victoire honnête, ni même qu’une défaite en ayant la fierté de s’être donné à fond. Nous sommes souvent tentés par la facilité de la triche, mais nous savons qu’elle ne porte pas de fruit ; tout comme l’argent volé reste souvent de l’argent « sale », que l’on ne dépense pas de la même manière que celui qui a été gagné à la sueur de son front et dont on peut être fier.

Foi, espérance, charité
Le Christ, tout au long de son existence, a fait preuve d’une grande endurance, d’une honnêteté sans faille, d’un esprit collectif incomparable. Il a su passer le relais à d’autres, en leur faisant confiance, même au-delà de leurs échecs ou de leurs failles. En cela il nous ouvre un chemin de vie et nous donne à voir un visage de l’humanité qui peut nous inspirer… Dans les principes fondamentaux du sport on peut retrouver les vertus théologales que sont la foi, l’espérance et la charité.

Olivier

2024-05-21T22:42:54+02:00

L’Évangile du mois de juin 2024

Nous lirons ce passage le dimanche 9 juin, le 10e dimanche du temps ordinaire.
À l’Œuvre, ce sera le dimanche des premières communions…

Évangile de Jésus-Christ selon saint Marc

En ces temps-là, Jésus revint à la maison, où de nouveau la foule se rassembla, si bien qu’il n’était même pas possible de manger. Les gens de chez lui, l’apprenant, vinrent pour se saisir de lui, car ils affirmaient : « Il a perdu la tête. » Alors arrivent sa mère et ses frères. (…) Restant au-dehors, ils le font appeler. Une foule était assise autour de lui ; et on lui dit : « Voici que ta mère et tes frères sont là dehors : ils te cherchent. » Mais il leur répond : « Qui est ma mère ? Qui sont mes frères ? » Et parcourant du regard ceux qui étaient assis en cercle autour de lui, il dit : « Voici ma mère et mes frères. Celui qui fait la volonté de Dieu, celui-là est pour moi un frère, une sœur, une mère. »

Le contexte
Jésus revient à la maison. Elle se trouve à Nazareth, là où il a vécu une trentaine d’années avec sa famille. Il retrouve les siens après une première série de miracles effectués hors de sa ville natale et qui ont marqué les esprits. L’Évangile de ce jour est composé de deux épisodes qui évoquent les liens que Jésus entretenait avec sa famille.

Jésus étouffe
La première scène est particulièrement étonnante. Jésus est là et on ne peut même pas manger. C’est quand même incroyable, la plénitude du Royaume de Dieu, le Christ en personne est là et on ne peut pas manger ! Celui que Jean appellera le « pain de vie » empêche par sa présence à ses proches de pouvoir manger. Il y a quelque chose qui ne tourne pas rond. De plus, sa famille ne reconnait pas en lui le Messie, mais le petit charpentier qu’il a toujours été à la suite de Joseph. La foule l’oppresse et le considère comme un faiseur de miracles, comme une bête de foire. Bref, le début de la vie publique de Jésus est ici mal perçu.
Cela devrait nous rassurer chacun dans nos missions respectives : parents, personnes consacrées ou en recherche, nous aimerions parfois que notre chemin soit plus facile, que nos familles soient plus conciliantes avec nous.

Tel maitre, tels fils…
Ne prétendons pas vivre autrement que notre Seigneur Jésus-Christ. Accueillons les embûches de nos vies pour ce qu’elles sont, sans leur donner trop d’importance. Si nous regardions plus souvent les plus petits que nous devons servir, nous relativiserions davantage nos contrariétés, nos difficultés dans la mission ou dans nos vies. Et avec nos familles, acceptons de parfois être incompris, une occasion de plus de grandir en humilité.

Il a perdu la tête
Sa famille se fait du souci, « il a perdu la tête » dit l’un de ses proches. Le raisonnement est simple : Jésus est de chez nous, il est donc à nous, il est donc pour nous. C’est un phénomène classique d’appropriation que nous vivons quand nous profitons d’un membre de notre famille pour obtenir un piston ou de l’argent. Or, les miracles les plus impressionnants n’ont pas été exécutés à Nazareth mais ailleurs. Une forme de déception atteint sa famille puisqu’à leurs yeux, il est de chez eux mais il les ignore.

Un nouveau critère de choix
Dans le deuxième petit épisode, Jésus élargit considérablement la notion de famille. Elle n’est plus liée à l’appartenance à un même arbre généalogique mais au partage de la même foi. Font partie de la famille de Jésus « ceux qui font la volonté du Père ». On peut comprendre la circonspection de son entourage et nous, la joie de faire partie de sa famille.

Didier Rocca

Le nom du mois : Nazareth
Que reste-t-il aujourd’hui de ce Nazareth du temps de Jésus ? S’il n’existe plus aucune maison datant de l’époque du Christ, les nombreuses grottes creusées à même la roche sont encore visibles de nos jours. Parmi elles, la « maison de la Vierge » et la grotte de l’Annonciation, des lieux bénis que la tradition célèbre depuis des siècles comme ceux des évènements rapportés dans les Évangiles.

2024-05-20T21:31:27+02:00

Camp Printemps 2024 > les Jeunes Cadets

Les Jeunes Cadets à Carabelle

Sur un matin ensoleillé ☀️ les JKD’s se sont retrouvés entre 8 h et 9 h à l’Œuvre pour leur départ au camp de Pâques 🐣 qui devait durer cinq jours. Hop ! Un bisou à papa et maman et un pied dans le master direction Carabelle ! Le trajet a duré approximativement 1 h 15.
Arrivés à Carabelle les JKD’s croisent les KD’s, c’est la joie dans la maison, tout le monde est super-content 😁 ! Pour commencer ce camp en beauté rien de mieux que d’apprendre tous les prénoms de ses camarades, donc on s’est mis en rond et tout le monde a appris le prénom de chacun grâce à un petit jeu sympa et rapide ! Ensuite, ils se sont assis en cercles pour démarrer le pique-nique 🍟. Après ça, place aux règles de vie pour que tout le monde puisse passer un camp dans le respect et la bonne humeur, et après place au jeu commun JKD-KD donc 1 h 30 d’amusement pour les jeunes ! 16 h l’heure du goûter et ensuite place au douches 🚿, 17 h-19 h le 5/7 : une partie du groupe révise la kermesse et l’autre fait des activités sportives. 19 h le repas 🍽️ et ensuite place à la veillée, ce soir-là les jeunes ont rencontré deux moustiques qui faisaient une soirée avec plein de mini-jeux et la possibilité de miser de l’argent sur certaines équipes ! 22 h 30 la prière et 23 h au lit 🛌.
Le lendemain les jeunes se réveillent à 8 h 30 et déjeunent à 9 h. Après un bon petit déjeuner 🥞, place au jeu jusqu’à midi. 12 h le repas 🍽️, et ensuite le deuxième jeu de la journée, 16 h goûter pour reprendre des forces ! Et place aux douches 🚿, ensuite 5/7 avec répétition de la kermesse et pour l’autre groupe une thèque, un jeux sportif un peu comme le baseball ⚾️. Les jeunes se sont régalés tout le monde a rigolé et s’est dépensé. 19 h le repas 🥘, les Jeunes-Cadets se sont régalés avec les plats de Béa et Bernard 😋. Ensuite, on se brosse les dents comme d’habitude entre chaque repas. 21 h l’heure de la veillé, ils ont rencontré un groupe de youtubeurs qui était là pour tourner une vidéo « pouleurs chaîneses ».
Le camp s’est déroulé ainsi dans la bonne humeur et le partage. Il s’est terminé sur de la joie et des bons moments, ils s’en souviendront très longtemps. Le temps était excellent malgré la pluie qui faisait parfois une apparition.
Malheureusement, toutes les bonnes choses ont une fin, mais les Jeunes-Cadets ont pu apprendre à se connaître chacun et chacune et ils ont pu apprendre à vivre ensemble grâce aux règles de vie. Ils ont partagé plein de moments inoubliables. C’est un bon groupe qui ne va faire qu’évoluer !

L’équipe des JKD’s

2024-05-20T21:20:41+02:00

Lettre du Villard – mai 2024

Lettre du Villard

Le Villard, le 15 mai 2024

Nous avançons doucement vers l’été que devraient animer les compétitions des Jeux Olympiques ; un avant-goût nous a été donné par le passage de la fameuse flamme dans notre vallée. Par où ne sera-t-elle pas passée, d’ailleurs, le jour où elle parviendra à Paris ? Nous avions pu trouver une place devant le marché couvert. Le colonel Gastinel a observé que nous avions été assez chanceux de la voir portée par une authentique sportive et non, comme cela a été vu ailleurs, par des saltimbanques censés attirer du public. Beraud, qui avait fait le déplacement avec nous, lui a fait remarquer qu’il n’était pas mauvais que de tels évènements amènent des gens qui souvent s’ignorent à exprimer les sentiments communs qu’ils éprouvent et qu’il ne fallait pas faire la fine bouche quant aux moyens employés.
« Si vous voulez, rétorqua le colonel, mais à ce compte-là, puisqu’on a fait porter la flamme olympique à des personnes qui ne sont pas connues pour leurs performances sportives, pourquoi ne pas avoir confié le rôle de maître de cérémonie de l’ouverture du festival de Cannes à un catcheur professionnel plutôt qu’à Camille Cottin1 ? »
Mimiquet nous a rejoints à la terrasse du Choucas où nous nous étions laissés aller à prendre l’apéritif ; inutile de vous dire que la flamme était déjà partie en voiture vers une ville plus importante. Beraud a rappelé en levant son verre la formule qu’on prête à Pierre de Coubertin, mais qu’il aurait empruntée à un évêque épiscopal américain : « L’important, n’est pas de gagner, c’est d’y prendre part. » « Si seule une personne peut porter la couronne de lauriers, a-t-il commenté, tout le monde peut partager la joie de la compétition. N’est-ce pas merveilleux ! » « Voire, enchaina Gastinel, mais cela a-t-il quelque rapport avec la réalité, lorsqu’on sait que pour participer, il faut avoir été sélectionné, c’est-à-dire avoir déjà évincé un grand nombre de candidats, autrement dit il faut avoir gagné pour participer ! On nous tympanise avec cette formule car elle est dans l’air du temps, du moins dans l’air que fredonnent les médias. L’exclusion est à exclure et tout le monde a ses chances ; c’est bien gentil, mais ce n’est pas ce qu’on voit dans la vraie vie, comme on dit aujourd’hui, où la sélection et l’exclusion scandent toutes les étapes d’une vie professionnelle. » « En va-t-il différemment en d’autres domaines ? » a hasardé Béraud. « Ne dit-on pas d’un artiste, qu’il soit musicien, peintre, comédien, qu’à un certain moment de sa carrière, il s’est imposé, c’est-à-dire qu’il a pris le pas sur d’autres ? »
Vous disiez dans votre dernière lettre que vous étiez frappé par les conversations de vos amis qui, quel que soit le milieu professionnel, considèrent que le rapport des jeunes générations au travail et à la réussite professionnelle est bien différent de celui qui avait été celui de votre génération ; ne parlons pas de la nôtre ! Vous notiez dans leurs propos une incompréhension devant ce qu’ils ressentaient comme un désintérêt. Vous admettez que l’idée de ne pas consacrer au travail une part important de son existence est tout à fait recevable. Je crois comprendre que vous n’êtes pas loin de penser que faire croire que l’on s’épanouit dans la vie professionnelle, c’est-à-dire dans un domaine d’obligations, pouvait être considérée comme le miroir aux alouettes que ceux qui ont été favorisés – et qui n’ont pas besoin de travailler – tendent à ceux dont la condition est moins favorable. Ne dites-vous pas, en plaisantant, que l’Éternel, qui par définition sait tout, a condamné l’homme au travail pour le punir ? Je racontai cela pendant que nous attendions que le serveur nous rendît la monnaie. Beraud a souligné qu’on avait autrefois une opinion tellement défavorable du travail que le fait pour un aristocrate d’exercer une activité professionnelle était déchoir. « Et moi-même, ajouta-t-il, lorsque je me suis arrêté de travailler, j’ai rêvé de vivre comme les nobliaux de province d’autrefois ; ils n’avaient pas l’occasion de s’ennuyer ; ils lisaient, chassaient, rédigeaient parfois des chroniques savantes, rencontraient des amis, faisaient de la musique, s’adonnaient au dessin ou à la peinture. Parfois même ils cherchaient une distraction dans la recherche du perfectionnement de techniques ; voyez l’exemple de Louis XVI qui était passionné de serrurerie… » Mimiquet l’interrompit pour glisser que notre monde irait sans doute mieux si certains chefs d’État se contentaient de s’amuser à la serrurerie plutôt que de s’entêter à faire ce qu’on n’attend pas d’eux.
« On est bien d’accord, avança Gastinel, sur l’idée que le travail ne devrait pas être une fin en soi et que, pour parler (un peu) comme Pascal, le philosophe du xviie siècle, je dis cela pour Mimiquet, l’homme est perverti lorsqu’il privilégie la chasse par rapport à la prise, c’est-à-dire les moyens par rapport à la fin. On peut et on doit pouvoir se réaliser autrement. Il n’empêche que la majorité des gens honnêtes n’ont pas encore trouvé le moyen de gagner leur vie sans travailler et que les aspirations des zélateurs de la décroissance ne leur permettraient pas de vivre comme de purs esprits. » Mimiquet, qui a trimé toute sa vie, nous a jeté : « Si ceux dont parle votre ami ne pouvaient compter sur la protection que leur assure la société ils feraient un peu moins la fine bouche. Ils accepteraient d’aller travailler ailleurs que là où ils ont envie et admettraient des conditions de travail et des niveaux de salaire qui ne leur permettraient sans doute pas de vivre comme ils le souhaiteraient. Entendons-nous, c’est bien pour eux, mais cela risque de n’avoir qu’un temps… » Beraud a rebondi en se demandant si, dans un monde de concurrence, il était possible dans notre petit hexagone de vivre comme si la compétition internationale n’existait pas, comme si nous étions seuls au monde. « Il suffit de voir notre dégringolade au classement Pisa2. La médiocrité dans laquelle nous risquons de nous enfoncer, si on refuse de voir la situation en face, finira par nous rendre de moins en moins compétitifs dans un nombre croissant de domaines. Fera-t-on encore la fine bouche ?
Voilà qui vous permettra peut-être de prolonger les conversations que vous avez avec vos amis sur le sujet. Nous pourrons à notre tour les poursuivre lorsque la Flamme olympique arrivera à Paris. Nous espérons bien en effet que vous serez à ce moment-là au Villard.
Soyez assuré de nos sentiments les plus cordiaux.

P. Deladret

  1. Camille Cottin, actrice de cinéma, née en 1978, maîtresse de cérémonie pour l’ouverture du Festival de Cannes 2024.
  2. Le classement Pisa (Programme International pour le Suivi des Acquis des élèves) mesure l’efficacité des systèmes éducatifs dans 85 pays.
2024-05-20T21:32:51+02:00

Camp Printemps 2024 > les Cadets

Les Cadets à Carabelle

Le camp de Pâques à Carabelle a été une expérience inoubliable pour les enfants. Avec sa superbe piscine, les plus courageux ont pu se baigner dans une eau à 13 degrés et profiter du soleil printanier lors d’une unique session piscine. Ensuite, nous sommes partis faire une petite balade vers Beaumont-de-Pertuis pour explorer les sentiers et les paysages magnifiques que nous offre la nature.
Le lendemain, le Petit Prince et ses amis ont débarqué à la maison. Axés sur le thème de l’amitié, les enfants ont pu explorer les liens qui les unissent en s’amusant ensemble. Le soir, ils sont partis visiter un planétarium pour ajouter une touche de fascination cosmique, élargissant leur horizon.
Le samedi matin, quatre femmes de différents pays ont fait irruption à la maison. Elles avaient besoin d’aide pour déterminer quel pays était le plus fort. Plusieurs défis amusants ont été organisés, mettant en valeur les talents et les caractéristiques uniques de chaque culture représentée. L’après-midi, quatre enfants de maternelle sont arrivés pour une histoire de vol de jouets qui ont été cachés dans différents endroits de Carabelle. Après avoir retrouvé les jouets, ils ont pu créer différentes pizzas pour le repas et finir sur une soirée film pleine de rigolade.
Ce fut un camp rempli de souvenirs inoubliables, d’amitié et d’aventures mémorables, laissant à chacun le cœur rempli de joie et d’expériences enrichissantes.
Nous vous attendons en forme pour le grand camp !

Le Petit Prince

2024-05-20T21:23:32+02:00

Camp Printemps 2024 > les Grands Cadets

Les Grands Cadets à Ganagobie

Le premier jour, nous sommes partis de l’Œuvre à 9 h, nous avons fait deux heures de route pour arriver à Ganagobie. Une fois arrivés : nous avons fait les chambres, pique-nique entre nous, règles de vies puis un groupe est parti chercher du bois et d’autres ont visité le nouveau lieu avant de faire un premier un jeu commun ! Au 5/7, comme à tous ceux du camp, nous avons préparé la kermesse ! Le soir trois humoristes se sont occupés de la veillée pour trouver des nouveaux candidats pour LOL : qui rit, sort ! Le mardi 30 avril, réveil à 8 h 30 en musique puis petit déjeuner à 9 h. Le matin, nous avons eu la visite de quatre hôtesses de l’air qui avaient perdu leur compagnie et faisaient donc appel à nous pour avoir de la clientèle puis des avions. Petit temps libre et repas ! L’après-midi trois baby-sitters ayant égaré leur enfant sont venus nous demander de l’aide pour le retrouver ! Ensuite, petite messe dans l’oratoire de la maison, suivie de la kermesse, des douches et du repas. Le soir, nous avons regardé le film La haine et nous avons débattu et discuté ensemble. Le mercredi 1er mai, nous avons eu la visite de Rick et Morty, venus dans notre monde pour faire une detox d’arme, car Morty est trop accro à la violence. Nous les avons donc accompagnés dans cette journée sans arme. Après le petit déjeuner, nous avons pris le minibus pour nous rendre au monastère. À 10 h nous sommes arrivés sur place, accueillis par un moine qui nous a fait une visite explicative de l’église jusqu’à 11 h. À 14 h nous sommes partis pour une surprise préparée par Rick et Morty. Arrivé là-bas, Rick nous a expliqué qu’il n’arrivait pas à arrêter l’utilisation d’armes donc il avait besoin d’une activité pour se détendre, il nous a donc invités à la faire à ses côtés ! Vous l’avez compris, nous sommes au laser-game pour nous affronter sur 2 parties très sportives. À 20 h, départ rapide pour le monastère car nous allons partager une des prières des moines, celle des Complies. Une bonne expérience pour tous ! Après une veillée sportive et l’aide des GKD, Rick et Morty ont enfin réussi à réouvrir leur portail pour voyager dans un autre monde que le nôtre, et pour cela ils ont choisi la moitié d’entre nous pour vivre cette expérience ! Jeudi matin, réveil habituel à 8 h 30, on demande aux GKD de faire leur sac avant le petit déjeuner qui est à 9 h car nous devons partir à Carabelle dans la matinée ! Après une bonne heure de trajet nous retrouvons les JKD’s à Carabelle. Une fois le bilan des JKD’s fini nous nous retrouvons et nous déjeunons tous ensemble ! Après un bon repas, nous avons un bon gros temps libre durant lequel nous passons du bon temps tous réunis, certains jouent au foot, d’autres font de petits jeux sympas, d’autres mettent de la musique, etc. Après ce temps libre sympathique nous avons eu l’honneur de nous réunir pour aider Jul, Naza, Kofs et SCH à retrouver leurs disques d’or et de platine. Un jeu qui a beaucoup fait rire et durant lequel nous nous sommes régalés. Suite à ce jeu, nous prenons le goûter avant que les JKD’s nous quittent pour rentrer à Marseille. Douche et kermesse. Nous nous réunissons aux alentours de 19h15 pour le dîner durant lequel nous avons souhaité un JOYEUX ANNIVERSAIRE à Inès pour la 14e fois de la journée, nous en gardons un très bon souvenir ! Le soir nous avons eu la joie de rencontrer un démon et les fées avec qui nous avons passé une super veillée. Après la veillée les animateurs nous ont réservé un jeu bien spécifique à Carabelle, une guerre des sifflets ! Pour la dernière soirée à Carabelle, que demander de mieux ? Après cette super fin de soirée, la prière a lieu, ne pas oublier l’importante présence de Dieu au sein de notre groupe ! Une prière au coin du feu et s’ensuit une nuit tous réunis dans la salle de veillée, une première pour les GKD’s ! Après une nuit agréable ou presque à même le sol de Carabelle, nous avons pris un petit déjeuner revigorant pour une série de mini jeux collectifs ! Ensuite nous avons réuni nos affaires, fait le ménage et nous sommes rentrés à Marseille, avec beaucoup de super-souvenirs de ce camp passé ensemble !

Louis, Camille, Hector, Joséphine et Cléa

2024-05-20T21:29:06+02:00